encore de nouvelles planches… avant d’arrêter pour un moment. je vais devoir travailler sur le prochain mélusine pendant quelques semaines.
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Méta
Je suis de plus en plus intriguée par ce projet (forcément sans les caractères dans les phylactères ça laisse songeur, et les quelques planches qui en sont pourvus donnent encore plus envie)
Les va et vient entre la deuxième guerre mondiale et la Grèce antique (d’ailleurs quelle période? Classique, archaïque, hellénistique…) sont très intéressant.
Gros coup de cœur sur la première planche pour les cases quatre, cinq et six. (la 5 et la 6 pour les très beaux mouvements, sensuels, et la 4 pour le corset et la pose qui donne un effet « pinup »)
D’ailleurs quand je vois certaines de vos cases (5,6,7) ça donne furieusement envie de voir l’album entier traité de cette manière. (exclusivement noir et blanc, avec de grands aplats)
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c’est vrai que le mélange d’époque peut laisser perplexe (en ce qui concerne la grèce, c’est la toute fin de la période classique)… mais, avec les dialogues, c’est quand même plus clair. enfin, je l’espère 😉
merci pour la première planche : je me suis rendu compte que c’est la première fois de ma vie que je dessine une scène d’amour dans un album… je crois que je vais en mettre d’autres : j’ai trouvé ça agréable à faire… et les aplats de noir et blanc sont très appropriés ici. l’album devrait doucement glisser vers ce mode de dessin. pour des raisons narratives, d’abord. mais par goût aussi. j’aime travailler les contrastes… malheureusement, il sera en couleurs. mais bon, c’est cerise qui les fera et je sais qu’elle fera un boulot formidable…
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Rien de tel qu’une présence féminine pour ajouter un peu de piment (aussi, j’en connais qui demanderont cette case en dédicace…). Très belles pages, encore, entre ombres et lumières bien balancées. Il y a un petit détail qui me trouble, des cases inversées : la femme est d’abord nue sous son manteau puis se rhabille (si peu que ce soit) ? et porte une jolie petite lingerie sexy ensuite pour se ré-dénuder la case suivante… elle a le droit (toi aussi), mais dans le feu de l’action je trouve ça un peu surprenant… soit, soit… et d’accord pour les scènes d’amour, de la douceur et des endorphines… 😉
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elle n’est pas nue sous son manteau : un chemiser, un corset, mais pas de soutien-gorge. ainsi était parfois la lingerie à l’époque. mais je ne sais pas s’ils avaient déjà des endorphines avant-guerre… bah, je supppose que oui 😉
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Oups, pardon, je n’avais pas vu le petit bout du corset, ni le chemisier… je veux aller trop vite et je devrais mettre mes lunettes ! ça m’étonnait aussi… (mais personne n’est à l’abri d’un moment d’euphorie pouvant provoquer une petite inattention)… 🙂 et JPG n’a rien inventé ! Pour les endorphines, ces petites molécules plaisantes existent depuis la nuit des temps…, les experts de la préhistoire affirment que nos ancêtres en avaient une bonne dose 😉 Reste à prouver que nous avons bien un lien avec ces sauvageons poilus…
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